Le terrain de Buxerolles plébiscité par les usagers

Le soleil contribue au succès de la fréquentation du City stade. - dr / La Nouvelle République

Article du La Nouvelle République, 08/03/2015 05:33


"Le City stade, les jeunes l'adorent"

Depuis près d'un an, le City stade posé au milieu d'un espace loisir accueille enfants et adolescents de Buxerolles. Située sur un terrain bordant l'école maternelle du Planty, cette réalisation est le résultat d'une demande initiale du conseil communal des jeunes.

" On s'organise des mini-tournois c'est super ! "

Entouré d'un réseau d'allées piétonnes, d'un mini-théâtre de verdure à proximité de l'école et d'aménagements hydrauliques discrets, l'équipement vedette de cet espace ludique ne désemplit pas pendant les vacances. Plébiscité par les jeunes, il est devenu le lieu où ils peuvent dépenser leur énergie.
Le beau temps retrouvé et les vacances scolaires ensoleillées drainent enfants et familles vers le mini-stade. Saïd, 14 ans, est l'un d'eux : « Je viens tous les jours. Je joue au basket et au foot. C'est un bon terrain et les jeunes viennent de tout Buxerolles. Aujourd'hui, nous faisons du foot, tout le monde participe, on s'organise des mini-tournois, c'est super. »
Spectateurs, Nasser et sa petite famille profitent des pelouses : « C'est bien car cet espace est très fréquenté mais je souhaiterais des jeux pour les plus petits. » Rue des Myosotis, Brigitte Chanconie a vu le terrain vague se transformer : « Auparavant, seule l'école maternelle utilisait cet espace. Les jeux ont parfois des inconvénients pour nous les riverains. Nous avons rencontré la mairie. Elle va installer un filet enveloppant qui va éviter les projections de ballons dans nos jardins. » Ce que confirme le maire Jean-Louis Chardonneau : « Nous allons améliorer les équipements. Le site évoluera par la suite pour accueillir les plus petits comme les plus grands. Le succès de la fréquentation doit s'accompagner d'une bonne cohabitation entre générations, c'est un aspect de la réussite qui doit s'améliorer. »

Cor. Jean-Jacques Baud